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Le Fonds du Souvenir et l’après-guerre

À la fin de la Seconde Guerre mondiale en 1945, plus d’un million de Canadiens retournent à la vie civile, une vaste population d’anciens combattants à laquelle le Fonds viendra en aide. Le nombre d’inhumations n’est pas aussi important qu’après la Première Guerre mondiale, car le Canada a maintenant un filet social mieux établi. Dans la première décennie de l’après-guerre, le Fonds assume les services de funérailles de 700 à 800 personnes, en grande partie pour des anciens combattants de la Première Guerre mondiale.

Le nombre d’enterrements augmente à mesure que les anciens combattants avancent en âge. Au début des années 60, le Fonds connaît une forte augmentation du nombre d’enterrements d’anciens combattants de la Seconde Guerre mondiale.

L’évolution du Fonds du Souvenir s’effectue également à d’autres égards. Les anciens combattants qui n’ont pas été libérés honorablement deviennent admissibles à de l’aide, et les critères servant à établir le besoin financier sont assouplis.

À la fin des années 80 et au début des années 90, le Fonds resserre ses liens avec Anciens Combattants Canada. En 1998, le Fonds prend en main l’administration du Programme d’aide pour les frais funéraires, d’inhumation et de pierres tombales d’Anciens Combattants Canada. Aujourd’hui, le Fonds est le seul organisme offrant ces services aux vétérans canadiens.

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