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V’nez danser sur mon fairmile
Après la guerre, M. Poirier et son frère ont converti un navire torpilleur fairmile en salle de danse flottante. L’idée est non seulement ingénieuse, mais la fin de l’histoire en vaut aussi la peine.
Souvenances
Un témoignage touchant au sujet du rire, de la peur et des cicatrices de la guerre.
De la fin des combats au retour à la maison
M. Poirier nous raconte comment il a eu la chance d’entraîner des officiers alors qu’il n’était que sergent. Il nous raconte aussi son périple du retour à la maison.
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Mon passage en Hollande
De la frontière française au Rhin, des bons souvenirs aux mauvais, M. Poirier nous guide pas à pas et avec humour à travers son expérience en Hollande.
En route vers l’aérodrome de Capriquet
M. Poirier nous raconte comment ils ont réussi à échapper à une attaque aérienne, un groupe de chars d’assaut et un barrage d’artillerie avant d’enfin capturer un peloton de soldats allemands.
Débarquement en Normandie (vivre jusqu’à la nuit)
De l’instant où il sauta du bateau jusqu’au moment où il rejoint enfin la sûreté du camp, M. Poirier dut tout faire pour survivre.
Cobayes et gaz moutarde
Avant même de quitter le Canada, une centaine de soldats, dont M. Poirier, ont servi comme cobayes afin d’étudier les effets du gaz moutarde (sulfure de dichloroéthyle). Il nous raconte l’expérience telle qu’il l’a vécue.
Nous avons défendu notre liberté.
M. Allard indique pourquoi il s’est joint aux efforts de guerre; il croit que les Canadiens français n’ont pas défendu leur pays, mais qu’ils se sont battus pour la liberté et la sécurité de leurs familles.
Après l’Armistice
M. Allard décrit les activités qui ont suivi l’Armistice, notamment les longues marches pour joindre d’autres bataillons. Il mentionne aussi qu’il s’est retrouvé au front une seule semaine, soit celle qu’il a passée au Canal du Nord.
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