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31 résultat(s) pour votre recherche - regiment : North Shore Regiment
Je n'ai jamais regretté l'Armée canadienne

Je n'ai jamais regretté l'Armée canadienne

M. Doiron est fier d’avoir fait partie de l’Armée canadienne.

Aider la Croix-Rouge pour des enterrements

Aider la Croix-Rouge pour des enterrements

M. Doiron parle avec émotion de la difficile tâche d’enterrer les morts.

Je n'ai pas célébré la fin de la guerre

Je n'ai pas célébré la fin de la guerre

M. Doiron explique qu’à la fin de la guerre, il était fatigué et heureux, mais en raison de toutes les pertes subies, lui et ses camarades n’ont pas célébré beaucoup.

Sauver le barrage en Hollande

Sauver le barrage en Hollande

M. Doiron se rappelle que les Alliés devaient avancer rapidement pour empêcher les Allemands de détruire un barrage en Hollande.

En Hollande d'octobre 1944 à mai 1945

En Hollande d'octobre 1944 à mai 1945

M. Doiron décrit une action difficile de nuit pour prendre le pont de Nimègue en Hollande.

On ne peut pas oublier la Seconde Guerre mondiale

On ne peut pas oublier la Seconde Guerre mondiale

M. Doiron parle des commandos et à quel point ils étaient efficaces à se déplacer sans faire de bruit.

La ligne de front et le repos

La ligne de front et le repos

M. Doiron se rappelle qu’il passait plus de temps au front qu’au repos.

Les biscuits hard tack, le corned beef et la soif

Les biscuits hard tack, le corned beef et la soif

M. Doiron parle de nourriture au front et que bien qu’ils n’avaient pas des repas très élaborés, la soif les affectait plus que la faim.

Un camarade tué par un obus

Un camarade tué par un obus

M. Doiron raconte la mort tragique d’un camarade lors d’un repas au front en Belgique.

Blessé plus d'une fois

Blessé plus d'une fois

M. Doiron décrit comment il a été blessé en Belgique.

Le port d'Anvers en Belgique

Le port d'Anvers en Belgique

M. Doiron explique que ses supérieurs ont soigneusement choisi les hommes qui allaient devoir prendre le quai à Anvers.

Les Français étaient contents

Les Français étaient contents

M. Doiron se rappelle que les Français rencontrés étaient contents d’être libérés.

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