Le vétéran Howard Elson recommande le Programme pour l'autonomie des anciens combattants
Une blessure subie pendant son service pour notre pays n'a pas empêché M. Elson de prendre en charge son destin.
Le vétéran Howard Elson recommande le Programme pour l'autonomie des anciens combattants
Une blessure subie pendant son service pour notre pays n'a pas empêché M. Elson de prendre en charge son destin.
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Howard Elson a vécu sa juste part d'action et d'aventure au fil des ans. Il repense souvent aux événements qui ont façonné son cheminement de vie.
Au cours des 31 ans pendant lesquels il a servi au sein de la division de l'artillerie de l'armée canadienne, M. Elson a eu des affectations partout au Canada et même dans la vallée du Rhin en Allemagne. Après qu'un accident subi en 1979 alors qu'il travaillait avec des obus d'artillerie de 155 mm l'a laissé avec une blessure permanente au dos, M. Elson a quitté l'armée pour se rétablir.
Il n'a pas laissé cette blessure l'empêcher de profiter de différentes occasions après son service, notamment de nombreuses années à travailler comme officier de l'instruction pour les Rangers canadiens, ainsi que comme garde de sécurité pour une entreprise minière au Labrador.
Découverte du Programme pour l'autonomie des anciens combattants
Maintenant âgé de 78 ans, M. Elson reçoit du soutien dans le cadre du Programme pour l'autonomie des anciens combattants, comme des services de déneigement et de l'aide régulière dans sa maison en Nouvelle-Écosse. « Je ne connaissais pas le ministère des Anciens Combattants quand j'ai été libéré, souligne M. Elson. Je ne l'ai découvert qu'en 1996! »
Il encourage tout vétéran croyant pouvoir bénéficier du programme à présenter une demande. « Absolument, il faut le faire. Je suis très satisfait de ce que le programme a à m'offrir, et c'est toujours facile d'obtenir des réponses lorsque j'ai des questions. »
« Absolument, il faut le faire. Je suis très satisfait de ce que le programme a à m'offrir, et c'est toujours facile d'obtenir des réponses lorsque j'ai des questions. »
La transition vers la vie après le service peut se révéler un processus complexe. Des chercheurs comme Maya Eichler, Ph. D., sont d’avis que pour de nombreux vétérans, la transition est souvent vécue comme un « choc culturel ». Les femmes vétérans doivent relever un ensemble unique de défis, compte tenu du fait qu’elles sont plus susceptibles que les hommes d’être libérées pour raison médicale. Les femmes doivent aussi composer avec une baisse de revenu plus marquée après avoir quitté les Forces.
Un jour, le lieutenant-colonel à la retraite Michel Gagné a littéralement trouvé sa vocation au volant de sa voiture. Seul dans son véhicule, il s’est demandé : « Que me réserve l’avenir? ». La réponse l’a incité à s’arrêter.
Le Programme pour les familles des vétérans a mis Jo Anne et Michael Truskoski en lien avec un réseau de soutien, alors qu’ils tentaient de relever les défis de la vie après le service.