Avant et après
Après des années de combat dans la région et suite à l'assaut final du
9 avril 1917, la nature autour de la crête de Vimy n'était que champ de boue, de cadavres et de trous d'obus où plus aucune végétation n'existait, à l'exception de quelques arbres morts. Mais il n'y a pas que la campagne et les hommes qui ont souffert. Les villes, villages et fermes environnants ont aussi subi un dur coup. Pour plusieurs, tout était à recommencer.
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Le village de Vimy avant la guerre...(La grande rue de Vimy avant la guerre. Musée du Royal 22e Régiment/Bibliothèque et Archives Canada.)
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...et le voici après la guerre. Situé du côté allemand de la ligne de front, Vimy avait subi, entre autres, trois semaines incessantes de tir d'artillerie avant que les Canadiens ne s'en emparent enfin.(La grande rue de Vimy après la guerre. Musée du Royal 22e Régiment/Bibliothèque et Archives Canada.)
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Bien que la prochaine série de photos ne soit pas directement reliée à la bataille de la crête de Vimy, elle montre la progression et l'ampleur presque incroyable de la dévastation occasionnée par les combats sur une période de 4 ans.(La ferme Hurtebise en 1914. Archipel/BDIC.)
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(La ferme Hurtebise en 1915. Archipel/BDIC.)
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(La ferme Hurtebise en 1916. Archipel/BDIC.)
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Environ une semaine après l'assaut canadien de la crête de Vimy, le 16 avril 1917, le 2e Corps colonial des troupes françaises a tenté de soustraire la ferme au contrôle allemand pendant la bataille du Chemin des Dames. Voici ce qu'il en est resté.(La ferme Hurtebise en 1917. Archipel/BDIC.)
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