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Entraînement au Nouveau-Brunswick

Entraînement au Nouveau-Brunswick

M. Doiron raconte que beaucoup d’Acadiens de sa région se sont enrôlés ensemble et ont fait l’entraînement dans les Maritimes.

La traversée en Angleterre

La traversée en Angleterre

M. Doiron relate sa traversée de l’Atlantique en 11 jours à bord de l’Ile-de-France. En raison de l’odeur d’huile, plusieurs ont été malades. À leur arrivée en hiver 1942, ils ont été transférés à Aldershot, en Écosse, pour la suite de l’entraînement.

Cacher les lumières en Angleterre

Cacher les lumières en Angleterre

M. Doiron explique l’importance de ne pas utiliser de lumière pour révéler notre position durant la nuit.

Les bas de laine de la Croix-Rouge

Les bas de laine de la Croix-Rouge

M. Doiron parle des bas de laine distribués par la Croix-Rouge.

La modification des véhicules avant le débarquement

La modification des véhicules avant le débarquement

M. Doiron décrit des modifications subies par les véhicules avant le débarquement de Normandie.

Le 6 juin 1944, le débarquement

Le 6 juin 1944, le débarquement

M. Doiron se parle de son débarquement sur une plage de Normandie le 6 juin 1944, des obstacles, de la résistance allemande.

Le 6 juin 1944, l'avance

Le 6 juin 1944, l'avance

M. Doiron décrit son débarquement à Saint-Aubin-sur-Mer tôt le 6 juin 1944, et des actions d’autres groupes qui ont précédé et suivi le débarquement.

Perdre des camarades

Perdre des camarades

M. Doiron se souvient avoir perdu plusieurs hommes du North Shore Regiment le 6 juin, mais les hommes ont souvent su qu’après la guerre comment certains camarades sont décédés.

25 000 prisonniers à Falaise

25 000 prisonniers à Falaise

M. Doiron explique qu’à la bataille de la poche de Falaise, les Allemands ont reçu l’ordre de se battre malgré qu’ils étaient encerclés.

Des gros camions trois jours après

Des gros camions trois jours après

M. Doiron mentionne qu’ils ont compris après le débarquement pourquoi les camions avaient été modifiés.

Les Français étaient contents

Les Français étaient contents

M. Doiron se rappelle que les Français rencontrés étaient contents d’être libérés.

Le port d'Anvers en Belgique

Le port d'Anvers en Belgique

M. Doiron explique que ses supérieurs ont soigneusement choisi les hommes qui allaient devoir prendre le quai à Anvers.

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