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866 résultat(s) pour votre recherche - filtre : Seconde Guerre mondiale
Après le tour opérationnel, affectation à Pennfield Ridge

Après le tour opérationnel, affectation à Pennfield Ridge

M. Bruneau décrit ce qu’est un tour opérationnel, et qu’après 1000 heures de vol, un aviateur était réassigné, mais cette fois dans une tâche au sol. Il explique aussi qu’une fois son tour opérationnel terminé, il a été assigné à une station radio à Pennfield Ridge, au Nouveau–Brunswick.

Opération Parasol

Opération Parasol

M. Bruneau parle d’une opération aérienne très peu connue, l’opération Parasol, qui consistait à offrir une protection aux bateaux de troupes transatlantiques.

L’ordre dans les convois

L’ordre dans les convois

M. Bruneau explique le dur travail de faire la jonction des convois dans l’océan. Il fallait user de patience et communiquer avec la lampe ASDIC entre l’avion et les Commodores. Les bateaux transportant les explosifs devaient êter à la périphérie du convoi.

Le RDX, un explosif instable

Le RDX, un explosif instable

M. Bruneau décrit un type d’explosif utilisé dans la chasse anti-sous-marine qui a causé des pertes chez les Canadiens.

Un sous-marin en surface disparaît vite

Un sous-marin en surface disparaît vite

M. Bruneau relate une mission au cours de laquelle il a vu un sous-marin en surface et la vitesse avec laquelle le sous-marin a plongé pour éviter les bombardements.

Voler à 1000 pieds d’altitude, c’est «rough»

Voler à 1000 pieds d’altitude, c’est «rough»

M. Bruneau explique pourquoi ils devaient voler à basse altitude et les difficultés d’un vol à 1000 pieds.

Il fait froid à 10 000 pieds d’altitude

Il fait froid à 10 000 pieds d’altitude

M. Bruneau décrit l’équipement des aviateurs : revolver, veste, pantalons, casque, gants et bottes doublées. Il fallait être bien habillé pour se protéger du froid.

Les patrouilles politiques

Les patrouilles politiques

M. Bruneau explique que des considérations politiques ont mené à la division de son escadrille en plus petites unités pour offrir une surveillance aérienne plus étendue du golfe du St-Laurent.

L’ennemi peut aussi être la glace ou se perdre envol

L’ennemi peut aussi être la glace ou se perdre envol

M. Bruneau parle des différents périls que les aviateurs devaient affronter, dont la glace, et d’une situation dramatique vécue lors d’une mission. Il relate aussi une mission où l’équipage, par temps de brume, s’était perdu au-dessus de l’océan Atlantique et comment ils ont pu retrouver le chemin vers la terre ferme in extremis.

L’avion Hudson, l’équipage et le B24 Liberator

L’avion Hudson, l’équipage et le B24 Liberator

M. Bruneau parle de son transfert vers Sydney, en Nouvelle-Écosse et du nouvel avion avec lequel il patrouillait, le Hudson et des modifications effectuées, il présente le rôle des membres de l’équipage à bord de l’avion et explique que l’avion B-24 Liberator était la crème des avions pour combattre les sous-marins.

Cacher les pertes de cette guerre

Cacher les pertes de cette guerre

M. Bruneau raconte que l’on ne parlait pas des bateaux coulés près du Canada.

La bataille de l’Atlantique est une guerre sans panache

La bataille de l’Atlantique est une guerre sans panache

M. Bruneau réitère l’importance de la bataille de l’Atlantique mais tente d’expliquer pourquoi cette bataille est si méconnue.

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