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30 résultat(s) pour votre recherche - occupation : Télégraphiste
L’Atlantique nord était un lien vital

L’Atlantique nord était un lien vital

M. Bruneau réaffirme que la bataille à laquelle il a participé était une guerre silencieuse, une guerre de patience et surtout une guerre où il fallait maintenir le lien vital entre l’Amérique et l’Europe, coûte que coûte.

Noël 1944 et un sous-marin coulé

Noël 1944 et un sous-marin coulé

M. Bruneau se remémore avoir coulé un sous-marin le jour de Noël 1944.

Les femmes télégraphistes

Les femmes télégraphistes

M. Bruneau raconte que les employées sous sa supervision à Pennfield Ridge étaient toutes des femmes et qu’elles étaient très compétentes.

Je me souviens du Jour de la Victoire

Je me souviens du Jour de la Victoire

M. Bruneau parle des célébrations de la victoire et de la fin de la guerre à Pennfield Ridge, dont l’utilisation des feux d’artifice.

Après le tour opérationnel, affectation à Pennfield Ridge

Après le tour opérationnel, affectation à Pennfield Ridge

M. Bruneau décrit ce qu’est un tour opérationnel, et qu’après 1000 heures de vol, un aviateur était réassigné, mais cette fois dans une tâche au sol. Il explique aussi qu’une fois son tour opérationnel terminé, il a été assigné à une station radio à Pennfield Ridge, au Nouveau–Brunswick.

Opération Parasol

Opération Parasol

M. Bruneau parle d’une opération aérienne très peu connue, l’opération Parasol, qui consistait à offrir une protection aux bateaux de troupes transatlantiques.

L’ordre dans les convois

L’ordre dans les convois

M. Bruneau explique le dur travail de faire la jonction des convois dans l’océan. Il fallait user de patience et communiquer avec la lampe ASDIC entre l’avion et les Commodores. Les bateaux transportant les explosifs devaient êter à la périphérie du convoi.

Le RDX, un explosif instable

Le RDX, un explosif instable

M. Bruneau décrit un type d’explosif utilisé dans la chasse anti-sous-marine qui a causé des pertes chez les Canadiens.

Un sous-marin en surface disparaît vite

Un sous-marin en surface disparaît vite

M. Bruneau relate une mission au cours de laquelle il a vu un sous-marin en surface et la vitesse avec laquelle le sous-marin a plongé pour éviter les bombardements.

Voler à 1000 pieds d’altitude, c’est «rough»

Voler à 1000 pieds d’altitude, c’est «rough»

M. Bruneau explique pourquoi ils devaient voler à basse altitude et les difficultés d’un vol à 1000 pieds.

Il fait froid à 10 000 pieds d’altitude

Il fait froid à 10 000 pieds d’altitude

M. Bruneau décrit l’équipement des aviateurs : revolver, veste, pantalons, casque, gants et bottes doublées. Il fallait être bien habillé pour se protéger du froid.

Les patrouilles politiques

Les patrouilles politiques

M. Bruneau explique que des considérations politiques ont mené à la division de son escadrille en plus petites unités pour offrir une surveillance aérienne plus étendue du golfe du St-Laurent.

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