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120 résultat(s) pour votre recherche - occupation : Infanterie
Spécialisation dans les armes et devenir instructeur

Spécialisation dans les armes et devenir instructeur

M. Cloutier raconte une journée typique lors de son entraînement à la base. Il nous explique ensuite avoir suivi des cours spécialisés pour devenir à son tour instructeur sur différentes armes, comme le fusil, la mitrailleuse, les mortiers.

Premiers mois avec le Royal 22e Régiment

Premiers mois avec le Royal 22e Régiment

M. Cloutier explique ce qu’il a fait lorsqu’il a joint le Royal 22e Régiment : premiers mois à Borden dans l’attente d’un nombre suffisant de francophones pour commencer le cours de débutant, avant de se retrouver à Valcartier pour les manœuvres d’été.

Enrôlement dans l'armée le 24 novembre 1947

Enrôlement dans l'armée le 24 novembre 1947

M. Cloutier raconte comment un service funéraire pour un militaire décédé lors de la Seconde guerre mondiale a influencé son enrôlement quelques années plus tard.

Je n'ai jamais regretté l'Armée canadienne

Je n'ai jamais regretté l'Armée canadienne

M. Doiron est fier d’avoir fait partie de l’Armée canadienne.

Aider la Croix-Rouge pour des enterrements

Aider la Croix-Rouge pour des enterrements

M. Doiron parle avec émotion de la difficile tâche d’enterrer les morts.

Je n'ai pas célébré la fin de la guerre

Je n'ai pas célébré la fin de la guerre

M. Doiron explique qu’à la fin de la guerre, il était fatigué et heureux, mais en raison de toutes les pertes subies, lui et ses camarades n’ont pas célébré beaucoup.

Sauver le barrage en Hollande

Sauver le barrage en Hollande

M. Doiron se rappelle que les Alliés devaient avancer rapidement pour empêcher les Allemands de détruire un barrage en Hollande.

En Hollande d'octobre 1944 à mai 1945

En Hollande d'octobre 1944 à mai 1945

M. Doiron décrit une action difficile de nuit pour prendre le pont de Nimègue en Hollande.

On ne peut pas oublier la Seconde Guerre mondiale

On ne peut pas oublier la Seconde Guerre mondiale

M. Doiron parle des commandos et à quel point ils étaient efficaces à se déplacer sans faire de bruit.

La ligne de front et le repos

La ligne de front et le repos

M. Doiron se rappelle qu’il passait plus de temps au front qu’au repos.

Les biscuits hard tack, le corned beef et la soif

Les biscuits hard tack, le corned beef et la soif

M. Doiron parle de nourriture au front et que bien qu’ils n’avaient pas des repas très élaborés, la soif les affectait plus que la faim.

Un camarade tué par un obus

Un camarade tué par un obus

M. Doiron raconte la mort tragique d’un camarade lors d’un repas au front en Belgique.

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