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866 résultat(s) pour votre recherche - filtre : Seconde Guerre mondiale
Peinturer un navire

Peinturer un navire

Avant que les États-Unis n’entrent en guerre, la mer des Caraïbes et la mer des Sargasses étaient des zones relativement sans danger, mais après, il fallait passer inaperçu pour survivre.

Le Dundas

Le Dundas

Le navire marchand Dundas n’ayant pas été conçu pour naviguer en mer, M. Lemieux nous raconte les accommodements nécessaires pour y vivre en temps de guerre.

Transport de la bauxite

Transport de la bauxite

Alors qu’il fabrique des balles à l’arsenal de Québec, un ami de la famille propose à M. Lemieux de se rendre à Halifax pour s’embarquer sur le bateau à vapeur Dundas.

« C’est fini. »

« C’est fini. »

M. Leblanc nous raconte le jour de la capitulation inconditionnelle des Allemands.

Noël 1944

Noël 1944

Malgré la trêve, Noël dans les tranchées n’a pas été de tout repos.

Pièges

Pièges

Pour les Allemands, tout pouvait devenir un piège, un porte, un livre, un corps… Les Alliés devaient donc se méfier.

Difficultés et remords de conscience

Difficultés et remords de conscience

À la guerre, les difficultés sont multiples. M. Leblanc nous raconte ici comment la survie passait souvent par la débrouillardise, tout en menant parfois aux regrets.

L’odeur de la paille

L’odeur de la paille

Les odeurs peuvent souvent nous ramener loin dans nos souvenirs. Pour M. Leblanc c’est celle de la paille brulée qui le ramène à la guerre.

Respect des conventions

Respect des conventions

À la guerre, certaines règles d’engagement et autres conventions doivent être respectées par les belligérants, surtout lors de la capture de prisonniers. Malheureusement, nous dit M. Leblanc, la haine et la rage l’emportaient parfois sur la raison…

Prisonnier

Prisonnier

De sa capture aux Pays-Bas le 24 octobre 1944 à sa libération en Belgique, M. Leblanc nous raconte dix jours de captivité parmi des Allemands en déroute.

L’Escaut

L’Escaut

À la frontière de la Belgique et des Pays-Bas, la région de l’Escaut – endiguée sous le niveau de la mer – a beaucoup fait souffrir nos hommes. M. Leblanc nous raconte la seule nuit sèche qu’il y a passé.

Les nuits

Les nuits

Arrivé au front en guise de renfort pour le Régiment de la Chaudière, M. Leblanc nous explique comment lui et les autres nouveaux arrivés s’habituaient au front et s’intégraient au combat.

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