M. Lafrance tente d’exprimer l’inexprimable : ce qu’il a vu une fois arrivé sur les plages de Normandie.
Pris comme des sardines
La traversée de la Manche fut tout un événement ! M. Lafrance nous raconte ce qu’il pouvait voir de son chaland de débarquement.
Passer par les Açores pour se rendre en Écosse ?
Souvent les navires emmenant les combattants vers l’Europe devaient dévier de leur route pour éviter les sous-marins allemands.
Chacun son hamac
À vingt dans une cabine conçue pour deux, quand quelqu’un vomit tout le monde le sent !
Un coup de tête ?
M. Lafrance explique qu’il s’est enrôlé sans trop y penser.
Lire et écrire pour les autres
M. Lafrance nous raconte qu’il lisait et écrivait souvent des lettres pour les soldats moins lettrés que lui-même.
Peu d’argent en temps de crise
M. Lafrance nous raconte que la crise économique a sûrement eu un impact sur sa décision de s’enrôler.
Assez vu de front !
M. Lafrance explique pourquoi il a voulu voir l’Europe après y avoir passer trop de mois au front.
Nommer les morts
Un des derniers Canadiens à revenir au pays après la guerre, M. Lafrance a sillonné l’Europe afin de retrouver nos soldats tombés au combat, les identifier et les enterrer dûment.
Ne pas fraterniser avec les Allemands
M. Lafrance parle de l’interdiction de fraterniser avec les Allemands ou les Allemandes lors de l’occupation de l’Allemagne. En fait, il y avait de graves conséquences pour tout soldat pris à le faire.
« C’est lui ou c’est toi ! »
Rien n’est facile à la guerre. M. Lafrance nous parle de la vie de tireur d’élite et partage aussi certaines autres techniques de combat.
Vivre avec sa colère
De retour au pays, Roger Charbonneau raconte comment il a réussi à se débarrasser de sa rage et de sa colère.