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L’ennemi peut aussi être la glace ou se perdre envol

L’ennemi peut aussi être la glace ou se perdre envol

M. Bruneau parle des différents périls que les aviateurs devaient affronter, dont la glace, et d’une situation dramatique vécue lors d’une mission. Il relate aussi une mission où l’équipage, par temps de brume, s’était perdu au-dessus de l’océan Atlantique et comment ils ont pu retrouver le chemin vers la terre ferme in extremis.

Les patrouilles politiques

Les patrouilles politiques

M. Bruneau explique que des considérations politiques ont mené à la division de son escadrille en plus petites unités pour offrir une surveillance aérienne plus étendue du golfe du St-Laurent.

Il fait froid à 10 000 pieds d’altitude

Il fait froid à 10 000 pieds d’altitude

M. Bruneau décrit l’équipement des aviateurs : revolver, veste, pantalons, casque, gants et bottes doublées. Il fallait être bien habillé pour se protéger du froid.

Voler à 1000 pieds d’altitude, c’est «rough»

Voler à 1000 pieds d’altitude, c’est «rough»

M. Bruneau explique pourquoi ils devaient voler à basse altitude et les difficultés d’un vol à 1000 pieds.

Un sous-marin en surface disparaît vite

Un sous-marin en surface disparaît vite

M. Bruneau relate une mission au cours de laquelle il a vu un sous-marin en surface et la vitesse avec laquelle le sous-marin a plongé pour éviter les bombardements.

Le RDX, un explosif instable

Le RDX, un explosif instable

M. Bruneau décrit un type d’explosif utilisé dans la chasse anti-sous-marine qui a causé des pertes chez les Canadiens.

L’ordre dans les convois

L’ordre dans les convois

M. Bruneau explique le dur travail de faire la jonction des convois dans l’océan. Il fallait user de patience et communiquer avec la lampe ASDIC entre l’avion et les Commodores. Les bateaux transportant les explosifs devaient êter à la périphérie du convoi.

Opération Parasol

Opération Parasol

M. Bruneau parle d’une opération aérienne très peu connue, l’opération Parasol, qui consistait à offrir une protection aux bateaux de troupes transatlantiques.

Après le tour opérationnel, affectation à Pennfield Ridge

Après le tour opérationnel, affectation à Pennfield Ridge

M. Bruneau décrit ce qu’est un tour opérationnel, et qu’après 1000 heures de vol, un aviateur était réassigné, mais cette fois dans une tâche au sol. Il explique aussi qu’une fois son tour opérationnel terminé, il a été assigné à une station radio à Pennfield Ridge, au Nouveau–Brunswick.

Je me souviens du Jour de la Victoire

Je me souviens du Jour de la Victoire

M. Bruneau parle des célébrations de la victoire et de la fin de la guerre à Pennfield Ridge, dont l’utilisation des feux d’artifice.

Les femmes télégraphistes

Les femmes télégraphistes

M. Bruneau raconte que les employées sous sa supervision à Pennfield Ridge étaient toutes des femmes et qu’elles étaient très compétentes.

Noël 1944 et un sous-marin coulé

Noël 1944 et un sous-marin coulé

M. Bruneau se remémore avoir coulé un sous-marin le jour de Noël 1944.

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