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Octobre 2023

Le Salut! bannière avec les mots, Fièr d'être au service des vétérans du Canada.

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Rectification

En raison d’une erreur technique, l’édition de septembre de Salut! n’a pas été distribuée par courrier électronique comme elle aurait dû l’être. Veuillez cliquer ici pour lire cette édition.


Programmes et services

Apprenez-en davantage sur la consommation de substances, le jeu et la santé mentale

Il peut être difficile de parler de la consommation de substances ou du jeu de hasard. Il est utile de mieux comprendre ces sujets afin de pouvoir réduire la stigmatisation et de reconnaître le lien entre ces comportements et la santé mentale.

Regardez les vidéos de la campagne de sensibilisation d’automne de LifeSpeak Inc. sur la consommation de substances, le jeu de hasard et la santé mentale du 2 octobre au 10 novembre.

Dans le cadre de cette campagne, les experts de LifeSpeak abordent notamment les sujets suivants :

De plus, ne manquez pas le prochain clavardage Web Demandez à un expert le 25 octobre à midi (heure de l’est), Stratégies pour protéger votre santé mentale, avec Jonah Paquette, Ph. D., psychologue clinicien, auteur et conférencier.

Connectez-vous sur LifeSpeak au : veterans.lifespeak.com, identifiant d’accès : Canada.

N’oubliez pas que si vous avez besoin d’un soutien psychologique, vous pouvez toujours contacter le Service d’aide d’ACC au 1-800-268-7708 ou utiliser le service de clavardage (choisissez « Je suis une employé du gouvernement du Canada, membre ou ancienne membre de la GRC ou des Forces canadiennes », dans la section organisme choisissez « Anciens Combattants Canada – Anciennes membres de la GRC et des FAC » et entrez le mot de passe : canada). Pour les personnes sourdes ou malentendantes : ATS 1-800-567-5803. Le Service d’aide d’ACC est disponible par téléphone 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, partout au Canada.


Croissance après un diagnostic d’ESPT : entrevue avec le vétéran de la GRC Jason Anderson

« Quand nous essayons de cacher notre diagnostic, c’est basé sur la honte », affirme Jason Anderson. Après 17 ans comme agent de la GRC, il a envoyé un courriel à ses amis proches et à sa famille, en publiant même sur les réseaux sociaux, pour dire qu’il avait reçu un diagnostic d’ESPT. Trois ans plus tard, il a quitté la GRC. « J’ai reçu un diagnostic, je ne peux pas en avoir honte parce que ce diagnostic reflète des choses que j’ai faites et vues dans ma carrière et que personne d’autre n’a faites ou vues. »

Dans une entrevue pour un balado de l’Institut Atlas, L’esprit au-delà de la mission, Jason Anderson parle de ce qui s’est passé après qu’il a reçu un diagnostic d’ESPT. Lors d’une discussion avec les animateurs de balado Laryssa Lamrock et Brian McKenna, il décrit le processus qui a conduit à une augmentation de l’ESPT.

« La leçon la plus importante et la plus difficile que j’ai apprise a probablement été l’acceptation de soi. »

Comment a-t-il appris à vivre avec l’ESPT?

« Vous devez comprendre que vous ne pouvez pas lutter contre l’ESPT, vous devez vivre avec. »

Désormais travailleur social agréé, Jason Anderson a changé sa façon de penser.

« La croissance, c’est apprendre à se connaître, purement et simplement. Si vous souhaitez vivre une croissance post-traumatique, commencez par remarquer ce que vous pensez, ce que vous ressentez ou quelles sont vos émotions à tout moment… parce que c’est une conscience que vous n’aviez pas auparavant, et vous commencez à bâtir sur cette conscience. »

Écoutez l’Épisode 10, « Croissance post-traumatique avec Jason Anderson, vétéran de la GRC » du balado de l’Institut Atlas.

 

Histoire de vétérans

Natalie Chafe-Yuan compétitionne pour le Canada

Le sous-lieutenant à la retraite Natalie Chafe-Yuan sourit à la caméra, portant un t-shirt rouge des Jeux Invictus.
Natalie Chafe-Yuan.

Le sous-lieutenant (à la retraite) Natalie Chafe-Yuan était officier d’infanterie avant d’être libérée en raison d’une blessure physique pendant son service. Survivante d’un traumatisme sexuel subi dans le cadre du service militaire, elle a passé les 15 années suivantes à éviter tout lien avec la communauté des vétérans.

Pendant la pandémie, elle a déménagé à Ottawa avec son conjoint et leurs trois enfants. C’est là qu’elle a entendu parler du Pepper Pod : un centre de retraite pour les femmes de la communauté canadienne des vétérans. Son expérience là-bas l’a mise sur la voie du bien-être – et des Jeux Invictus.

C’est une membre du centre Pepper Pod et une ancienne compétitrice aux Jeux Invictus qui a encouragé Natalie à postuler pour faire partie d’Équipe Canada. Elle s’est alors lancée en présentant sa candidature et a été admise au sein de l’équipe. Elle a participé aux Jeux Invictus 2023 à Düsseldorf du 9 au 17 septembre.

« En tant que femme au sein d’une unité de combat, je me sentais souvent seule, impuissante et sous la pression constante d’avoir à faire mes preuves, dit-elle. J’espère sincèrement que mon histoire trouvera écho auprès d’autres personnes en les réconfortant et en leur donnant les moyens et le courage de se faire entendre et de trouver leur propre chemin vers la guérison. »

Avec courage, intégrité et loyauté, Natalie Chafe-Yuan a laissé sa marque. Elle est l’une de nos vétérans canadiens.

Lisez son histoire et consultez quelques résultats d’Équipe Canada.

Apprenez-en plus sur le Pepper Pod.

 

Mois de l’histoire des femmes

Une carrière inspirante, stimulante, enrichissante et déchirante

L’adjudant-maître (à la retraite) Guylaine Lamoureux

Guylaine Lamoureux en uniforme à la fin de son instruction de base en 1997, un drapeau canadien en arrière-plan.
Guylaine Lamoureux à la fin de son instruction de base en 1997, à St-Jean (Québec).

En ce Mois de l’histoire des femmes, nous célébrons les réalisations exceptionnelles des femmes tout au long de l’histoire du Canada. L’armée canadienne a été largement façonnée par la contribution des femmes – qu’il s’agisse des infirmières militaires de la Première Guerre mondiale ou des premières femmes canadiennes à servir dans des rôles de combat pendant la guerre du Golfe. Ces contributions se poursuivent de nos jours.

Les efforts de nombreuses femmes servant dans l’armée pendant cette période ont été essentiels aux opérations militaires du Canada. Pourtant, elles devaient encore relever des défis importants. L’adjudant-maître (à la retraite) Guylaine Lamoureux est l’une de ces femmes. 

Guylaine – surnommée Gee – s’est jointe à la Marine royale canadienne en 1997, à l’âge de 26 ans. Technicienne dentaire de métier, elle considérait le service militaire comme une occasion de mettre à profit sa formation de manière nouvelle. Les 21 années qu’elle a passées en uniforme ont été parfois inspirantes, stimulantes, enrichissantes, mais aussi déchirantes.

Trouver sa place dans l’armée s’est avéré être le plus grand défi auquel elle a fait face. Le genre a souvent joué un rôle au cours de sa carrière.

Voici son histoire.

 

Avez-vous une histoire à raconter sur votre expérience dans les Forces armées canadiennes? Envoyez-nous un courriel.

 

Commémoration

Hommage aux soldats autochtones aux Pays-Bas

En septembre, un groupe de la communauté autochtone du Canada s’est rendu sur les tombes de 13 soldats autochtones récemment identifiés aux Pays-Bas, dans le cadre d’une délégation canadienne soutenue par Anciens Combattants Canada. Le groupe comprenait des membres des familles et des représentants des soldats autochtones récemment identifiés (voir la liste ci-dessous), des aînés et des représentants de l’organisme Aboriginal Veterans Autochtones (en anglais seulement). Il s’agissait pour les personnes liées aux soldats autochtones d’une occasion de rendre hommage à leurs ancêtres et de renouer avec leur histoire commune.

La libération des Pays-Bas a été la dernière contribution majeure du Canada pour aider les Alliés à remporter la victoire pendant la Seconde Guerre mondiale. Plus d’un million de Canadiens et de Terre-Neuviens ont servi dans le conflit, dont plus de 3 000 étaient autochtones.

Plus tôt cette année, un groupe composé de personnes canadiennes, autochtones et néerlandaises a créé le Projet d’héritage autochtone, une initiative basée sur la recherche et le souvenir pour identifier et marquer les tombes des soldats autochtones enterrés dans les cimetières des Pays-Bas.

La longue histoire militaire du Canada comprend de nombreuses contributions des Premières Nations, des Inuits et des Métis. Ils ont tant sacrifié pour sauvegarder notre paix et notre liberté. Nous leur devons de veiller à ce qu’ils obtiennent la reconnaissance qu’ils méritent.

Voici les tombes qui ont été visitées :

Le carabinier Joseph Chalifaux, de Kinuso, en Alberta, membre du Royal Winnipeg Rifles, décédé le 7 avril 1945 à l’âge de 28 ans.

Le soldat Daniel Cheer, de Brackendale, en Colombie-Britannique, membre du Seaforth Highlanders of Canada, décédé le 12 avril 1945 à l’âge de 24 ans.

Le sapeur John Culbertson, d’Oshawa, en Ontario, membre du 8e Escadron de campagne, Royal Canadian Engineers, décédé le 30 avril 1945 à l’âge de 33 ans.

Le soldat John Decoine, de Wabasca, en Alberta, membre du Royal Canadian Regiment, décédé le 1er mai 1945 à l’âge de 33 ans.

Le soldat George Irons, de Curve Lake, en Ontario, membre du 48th Highlanders of Canada, décédé le 13 avril 1945 à l’âge de 35 ans.

Le soldat John Laforce, de Sahanatien, en Ontario, membre du Royal Regiment of Canada, décédé le 4 avril 1945 à l’âge de 26 ans.

Le carabinier Philip Laforte, de Lac du Bonnet, au Manitoba, membre du Royal Winnipeg Rifles, décédé le 7 avril 1945 à l’âge de 33 ans.

Le carabinier Gabriel Lamirande, de Saint-Vital, au Manitoba, membre du Royal Winnipeg Rifles, décédé le 14 avril 1945 à l’âge de 31 ans.

Le soldat Norman Joseph Letendre, de Lac Ste. Anne, en Alberta, membre du Loyal Edmonton Regiment, décédé le 12 avril 1945 à l’âge de 24 ans.

Le soldat Robert Odjick, membre du Royal Regiment of Canada, décédé le 17 avril 1945 à l’âge de 26 ans.

Le caporal Welby Patterson, d’Ohsweken, en Ontario, membre du Argyll and Sutherland Highlanders of Canada (Princess Louise’s), décédé le 14 avril 1945 à l’âge de 22 ans.

Le sapeur Sanford Saulis, de Maliseet, au Nouveau-Brunswick, membre de la 1re Compagnie de campagne, Royal Canadian Engineers, décédé le 10 août 1945 à l’âge de 33 ans.

Le soldat Edward Underwood, de Saanichton, en Colombie-Britannique, membre du 1er Bataillon, Canadian Scottish Regiment, décédé le 17 novembre 1945 à l’âge de 27 ans.

Le Projet d’héritage autochtone est un partenariat entre la filiale 005 de la Légion royale canadienne (en anglais seulement), située aux Pays-Bas, et Aboriginal Veterans Autochtones avec le soutien de Faces to Graves (en anglais seulement), de la Commission des sépultures de guerre du Commonwealth (en anglais seulement) et d’Anciens Combattants Canada.

À ce jour, 22 tombes ont été identifiées comme étant autochtones au cimetière de guerre canadien de Holten, 41 au cimetière de guerre canadien de Groesbeek et 18 autres au cimetière de guerre canadien de Bergen-op-Zoom. Les recherches se poursuivent tandis que le projet va de l’avant.

Découvrez la longue et fière tradition de service des peuples autochtones dans l’histoire militaire canadienne.

 

Jeux Invictus de 2023 : C’est terminé!

Les membres d’Équipe Canada posent sur le sol d’un aréna, portant les couleurs de l’équipe et brandissant des drapeaux canadiens.
Les membres d’Équipe Canada posent sur le sol d’un aréna, portant les couleurs de l’équipe.

Les Jeux Invictus de 2023, qui se sont déroulés à Düsseldorf, en Allemagne, sont officiellement terminés. La performance de l’équipe canadienne aux Jeux a été une véritable source d’inspiration. Aux personnes qui ont pris part aux compétitions : en défiant votre esprit et votre corps, vous avez non seulement atteint, mais dépassé les objectifs que vous vous étiez fixés.

Félicitations à l’ensemble des membres de l’équipe canadienne. Nous sommes très fiers de votre courage et de votre persévérance. La force et l’esprit de l’équipe canadienne continueront d’inspirer toute la population canadienne.

Une haltérophile canadienne est photographiée pendant une compétition avec les bras levés pour célébrer.
Une haltérophile canadienne pendant une compétition avec les bras levés pour célébrer.

Maintenant que les Jeux Invictus de 2023 sont terminés, nous nous tournons vers 2025, année où les Jeux reviendront au Canada dans le cadre de la toute première édition comprenant des sports d’hiver. À Vancouver et Whistler, en Colombie-Britannique, du 6 au 17 février 2025, les Jeux réuniront plus de 500 compétiteurs de 20 pays qui s’affronteront dans des sports adaptés. Les nouveaux sports d’hiver adaptés comprennent le ski alpin, le ski nordique, le skeleton et le curling.

Un athlète d’Équipe Canada est photographié en train de courir sur une piste pendant une compétition.
Un athlète d’Équipe Canada en train de courir sur une piste pendant une compétition.

Dans un esprit de vérité et de réconciliation, les Jeux Invictus de Vancouver-Whistler de 2025 collaboreront avec les communautés autochtones locales pour la planification et la réalisation des Jeux et respecteront les pratiques territoriales autochtones.

Nous sommes impatients d’accueillir le monde entier et nous sommes ravis que les Canadiens et Canadiennes puissent être les premiers témoins de l’esprit Invictus.

C’est un rendez-vous en 2025!

Photos : Sans Limites – Soldier On.

 

Le Canada se souvient de ses efforts de maintien de la paix au Timor-Oriental

Un gardien de la paix canadien, le sergent Robyn Bédard, est photographié en train d’interagir avec deux femmes et deux jeunes enfants lors d’une patrouille dans le village de Zumalai, le 30 octobre 1999.
Le sergent Robyn Bédard en patrouille dans le village de Zumalai, le 30 octobre 1999. Photo : ministère de la Défense nationale. ISD99-474A

Ce mois-ci, nous saluons les membres des Forces armées canadiennes qui ont servi au Timor-Oriental. Peu de nos militaires ont servi aussi loin de chez eux que ceux qui ont été envoyés entre 1999 et 2001 dans ce pays d’Asie du Sud-Est, situé à quelques centaines de kilomètres au nord de l’Australie. Environ 650 membres des Forces armées canadiennes et un groupe de plus de 15 policiers civils canadiens ont servi dans ce pays, dont le caporal-chef (à la retraite) Vicki Lanthier.

Après une longue période de violence et de troubles au Timor-Oriental, la communauté internationale s’est mobilisée pour apporter son aide. Les militaires canadiens ont d’abord participé à une mission de paix multinationale dirigée par l’Australie et sanctionnée par les Nations Unies (ONU). Il a ensuite participé à un effort mené par l’ONU pour aider à rétablir la paix et la sécurité dans le pays.

Les gardiens de la paix canadiens ont patrouillé dans de vastes zones, construit des camps, réparé les installations locales et assuré le ravitaillement de la force opérationnelle navale multinationale. Ils ont également contribué à l’aide humanitaire et aux projets de construction de la nation.

En 2001, la présence des forces internationales de maintien de la paix a amélioré la situation au Timor-Oriental. L’année suivante, le Timor-Oriental a organisé des élections démocratiques et est finalement devenu un pays indépendant. Les forces de l’ONU sont restées sur place jusqu’en mai 2005 afin d’aider à maintenir la sécurité du pays alors qu’il s’acheminait difficilement vers l’indépendance nationale. Cependant, de nouveaux troubles ont éclaté en 2006 et les soldats de la paix de l’ONU sont retournés au Timor-Oriental pour une mission jusqu’en décembre 2012.

Pour en savoir plus sur cette mission et sur les Canadiens qui ont servi au Timor-Oriental, consultez notre page commémorative sur les opérations des FAC.

 

Calendrier de commémoration

1-31 octobre :
Mois de l’histoire des femmes
2 octobre :
Début concret de la bataille de l’Escaut pendant la Seconde Guerre mondiale en 1944
2 octobre :
Le NCSM Iroquois est touché par des tirs ennemis pendant la guerre de Corée, tuant trois marins canadiens en 1952
7 octobre :
Début de l’opération Apollo en guise de réponse du Canada au terrorisme international en 2001
14 octobre :
Le traversier SS Caribou est coulé au large des côtes de Terre-Neuve pendant la Seconde Guerre mondiale en 1942
23-24 octobre :
Le Royal Canadian Regiment participe à des combats acharnés à la cote 355 pendant la guerre de Corée en 1952
26 octobre :
Les Canadiens lancent leur première grande attaque à Passchendaele en 1917
30 octobre :
Le premier contingent canadien s’embarque pour la guerre d’Afrique du Sud, 1899
2 novembre :
La Marine canadienne commence à effectuer des missions antiterroristes en mer d’Oman en 2001
3 novembre :
Libération de la Belgique en 1944
5-11 novembre :
Semaine des vétérans
8 novembre :
Journée des vétérans autochtones
10 novembre :
Fin de la bataille de Passchendaele pendant la Première Guerre mondiale en 1917
11 novembre :
jour du Souvenir et 105e anniversaire de la fin de la Première Guerre mondiale en 1918
21 novembre :
17 soldats canadiens meurent dans un accident de train en Colombie-Britannique alors qu’ils étaient en route pour servir lors de la guerre de Corée en 1950
23-25 novembre :
Le Royal 22e Régiment participe à des combats acharnés près de la cote 355 pendant la guerre de Corée en 1951
24 novembre :
Les premiers gardiens de la paix canadiens arrivent pour la mission de la Force d’urgence des Nations Unies (FUNU) en Égypte en 1956
 

Connaissez-vous d’autres vétérans, des membres de leur famille ou d’autres personnes qui pourraient bénéficier de l’information contenue dans ce bulletin? N’hésitez pas à leur transmettre le bulletin.

 

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